Yzhali Pendar

Yzhali Pendar
Padawan Sentinelle
Genre
Féminin
Race
Zeltron
Âge
20 ans
Lieu de naissance
Zeltros

Dernières activités

Relations

Biographie

Date de naissance
76 ap. BY (20 ans)
Lieu de naissance
Zeltros
Affiliation


Yzhali Pendar : un éclat au cœur de Zeltros

Native de Zeltros, Yzhali Pendar grandit dans le faste et l'excès propre à cette planète réputée pour ses plaisirs et son opulence. Issue d'une famille influente, elle vécut une enfance choyée, marquée cependant par une tragédie dévastatrice. À l'âge de six ans, ses parents, Selenya et Marov Pendar, trouvèrent une mort tragique dans ce qui fut officiellement qualifié d'accident de speeder. Ce drame laissa une empreinte indélébile sur la jeune fille, bien qu'elle fût encore trop jeune pour en saisir les subtilités ou deviner les secrets dissimulés derrière cet événement.

Placée sous la tutelle de sa tante maternelle, Alarene Syvren, une Zeltrone influente et proche de la cour royale, Yzhali connut une éducation prestigieuse. Alarene, bien qu’austère et rigide dans sa gestion des affaires familiales, veillait à maintenir le prestige de la lignée Pendar et à offrir à sa nièce un avenir radieux. En grandissant, Yzhali s’adapta pleinement à l’environnement hédoniste et festif de Zeltros. Séductrice naturelle, elle devint rapidement une figure incontournable des fêtes du palais, captivant l’attention des nobles et des voyageurs de passage.

Yzhali usa de ses charmes avec une aisance désarmante, et son influence grandit dans les cercles aristocratiques. Elle séduisit notamment Vad Ryvla, le fils d’une famille noble respectée, s’assurant ainsi une position privilégiée parmi l’élite de Zeltros. Cependant, elle ne se laissa jamais enfermer dans une relation exclusive. Fidèle aux mœurs de son peuple, elle s’adonnait librement à ses désirs, préférant les compagnons proches-humains et évitant les espèces trop éloignées physiquement de son apparence.

Une préceptrice exigeante et une passion pour le combat

Parallèlement à sa vie sociale flamboyante, Yzhali développa un goût pour l’action et la maîtrise martiale. Sa tante Alarene conserva Nubii Paniso, la maîtresse d’armes Zabrak de la famille, pour encadrer son éducation physique. Nubii devint rapidement une figure majeure dans la vie d’Yzhali, imposant une discipline stricte tout en dévoilant à la jeune fille les subtilités du maniement des armes.

Inspirée par une célèbre chasseuse de primes zeltrone, Vianna D’Pow, Yzhali choisit de se spécialiser dans l’usage d’un fouet de choc, une arme redoutable et complexe. Pour elle, manier cet outil relevait autant de l’art que du combat. Ses entraînements, supervisés par Nubii, s’apparentaient à une danse, mêlant sensualité, précision et réflexes hors du commun. Ce talent naturel pour le combat la distinguait parmi ses pairs, et Nubii n’hésitait pas à exploiter ses dons exceptionnels.

Une sensibilité à la Force dissimulée

Depuis son plus jeune âge, Yzhali montrait des capacités qui allaient au-delà des traits typiques des Zeltrons. Sa persuasion naturelle était si puissante qu’elle frôlait la manipulation mentale, et son empathie, bien que caractéristique de son espèce, atteignait une intensité déconcertante. Yzhali pouvait percevoir des émotions avec une précision troublante et influencer subtilement les sentiments des autres. Cependant, personne autour d’elle ne soupçonnait que ses talents étaient liés à la Force. On les attribuait simplement à son ascendance et à sa beauté ensorcelante.

Cette connexion instinctive à la Force rendait Yzhali vulnérable émotionnellement. Submergée par les sentiments qu’elle percevait chez les autres, elle avait parfois du mal à distinguer ses propres émotions de celles de son entourage. Nubii, travailla à lui enseigner la maîtrise de ses réactions sans pour autant en révéler la nature, restant mystérieuse à ce sujet, tout en gardant secret son véritable dessein.

La révélation d’un Jedi

Tout changea lors d’une fête somptueuse au palais royal de Zeltros, peu avant les 18 ans d’Yzhali. Parmi les invités figuraient des Jedi du Nouvel Ordre, venus en mission diplomatique. Fidèle à sa nature, Yzhali s’amusa à charmer l’un des jeunes Padawans présents, troublant profondément le novice. Cependant, à sa grande surprise, ce dernier semblait résister à ses avances, ce qui attisa davantage son intérêt.

Le comportement du Padawan ne passa pas inaperçu auprès de son maître, le Chevalier Jedi Kaelan Doran, qui perçut une perturbation dans la Force émanant d’Yzhali. La situation dégénéra lorsque, frustrée par ce refus inattendu, Yzhali perdit le contrôle de ses émotions. Dans un élan de colère et de tristesse, elle projeta involontairement ses sentiments sur toute l’assemblée, plongeant les convives dans une crise de larmes collective.

Kaelan Doran comprit immédiatement qu’Yzhali était sensible à la Force. Après des discussions avec Alarene, il convainquit cette dernière que la jeune femme devait être formée au Temple Jedi. Yzhali, d’abord réticente, céda face à l’insistance de sa tante et à l’idée d’explorer ses capacités.

Un départ inattendu

Quitter Zeltros fut un bouleversement pour Yzhali. Habituée au luxe, aux fêtes et à la liberté de sa vie d’aristocrate, elle appréhendait la rigueur et les restrictions de l’Ordre Jedi. Elle ne comprenait ni leurs dogmes ni leurs attentes, mais elle était curieuse d’en apprendre davantage sur ses propres capacités.

Nubii, de son côté, vit ses plans s’écrouler. La formation Jedi représentait un obstacle majeur à son ambition, et elle ne cacha pas sa désapprobation, sans pouvoir y faire grand chose. Elle tenta d’influencer Alarene pour qu’elle refuse, mais la tante, consciente du prestige qu’apporterait à la famille la formation d’une Jedi, persista. Yzhali partit donc pour l’Académie Jedi, laissant derrière elle sa vie insouciante et les mystères entourant la mort de ses parents.

Une jeune femme pleine de contradictions

Yzhali débuta son entraînement Jedi avec une méfiance teintée de fascination. Ses capacités furent rapidement remarquées, mais son instabilité émotionnelle et son attachement aux plaisirs de son passé représentaient un défi pour ses maîtres. En même temps, la vérité sur la mort de ses parents restait enfouie, prête à ressurgir et à bouleverser une fois de plus son existence.

Ainsi, Yzhali Pendar, cette aristocrate séductrice et insouciante, entamait un voyage qui remettrait en question tout ce qu’elle croyait savoir sur elle-même, sur ses talents et sur la galaxie.

Description physique & morale

Genre
Féminin
Race
Zeltron
Taille
1m68 - 57 kg
Sensible
Oui
Yzhali est comme la majorité des représentantes de sa race, une zeltrone particulièrement belle. La peau pourpre réhaussée d'une longue chevelure bleutée parfaitement entretenue. Un visage fin au nez retroussé et de grands yeux sombres et aux lèvres pulpeuses. 

Un corps athlétique, musclé sans l'être de trop, aux formes harmonieuses, bien dessinées sans être disproportionnées. Elle peut prétendre aux canons de sa race qui a l'honneur d'être l'espèce la plus sensationnelle selon les canons esthétiques humanoïdes. Yzhali prête une grande importance à son apparence qu'elle soigne et cultive avec soin. Elle entretien sa chevelure, sculpte son corps par l'exercice, et montre un narcissisme prononcé quant à l'image qu'elle dégage. 

Elle porte généralement des vêtements proche du corps, comme des combinaisons, et largement échancrées et décolletées, quand ce ne sont pas des robes somptueuses et les bijoux ostensibles. Elle affectionne les armures légères pour l'entrainement, privilégiant l'esthétisme à l'efficacité... misant avant tout sur sa vitesse et son agilité. C'est en effet une sportive accomplie, montrant d'une grande souplesse, rapidité et agilité. Le maniement de son arme de prédilection, un fouet de choc, s'apparente à une danse gracieuse pour laquelle elle est reconnue. 

Elle pratique un art martial d'origine zeltrone, le Tendak, qui s'apparente à une sorte de capoeira, entre danse et combat. Elle possède les caractéristiques de son espèce. C'est une empathe naturelle qui ressent les émotions intenses des autres humains ou presque-humains. Elle peut aussi ressentir ou projeter le désir, la peur, la joie, la tristesse d'une façon limitée de par son trait racial. Et comme tous les zeltrons elle produit des phéromones et ce talent couplé avec des aptitudes empathiques la rend extrêmement "sociables" pour ne pas dire plus. 

Ces caractéristiques physiques s'agrémente d'une sensibilité avec la Force qu'elle ne sait pas définir, bien qu'elle soit consciente qu'elle a des capacités hors normes. Elle sait qu'elle peut faire plus que ses congénères, mais elle ne sait pas pourquoi, ni quel est ce phénomène, qu'elle garde d'ailleurs pour elle, usant de ses dons pour elle même, si tant est qu'elle parvient à les maîtriser. En effet, ces dons se manifestent le plus souvent de manière inconsciente ou même impromptues. Niveau caractère, Yzhali est propre à son espèce, une hédoniste convaincue, insouciante pour qui la quête du plaisir sous toutes ses formes est un mode de vie. 

Au delà des plaisirs de la chair, cela se traduit par une soif de connaissance insatiable, et une curiosité débordante, aussi bien pour la connaissance que pour la découverte de secrets d'un tout autre ordre. La cour zeltrone lui offre la possibilité d'illustrer ce goût de l'intrigue mondaine et elle se donne à cœur joie dans les cancanages. En parallèle de quoi elle s'abreuve de récits de voyage de ses nombreuses rencontres et conquêtes, et traine bien souvent dans les travées de la bibliothèque royale du palais. Elle rêve d'aventures, de découvertes, d'exploration... bien que sa vie fastueuse la retienne encore, malgré quelques voyages officiels. D'un caractère facile, Yzhali est très tolérante, sauf avec les espèces trop différente de la sienne. 

Mais elle est une zeltrone optimiste, joyeuse, de bonne compagnie. Tournée vers les plaisirs, la fête, elle a des attitudes amusantes et une capacité à aimer n'importe qui. Elle est espiègle, aime plaisanter et peut se montrer sarcastique. Elle montre un naturel déterminé, voir un côté entêté, obstiné. Quand elle a une idée en tête, elle va vouloir aller au bout. Cherchant à atteindre le résultat en priorité, Yzhali ne fait pas trop attention aux dommages collatéraux. Cela vaut également pour sa propre énergie, car une fois lancée dans un projet ou un objectif, la zeltrone est une personne déterminée et inarrêtable. Seul l'échec semble pouvoir la stopper et c'est un reproche qu'on lui a toujours fait. Trop fougueuse et acharnée, elle ne se motive pour autant que lorsqu'elle trouve un intérêt dans la cause qu'on lui présente. Si elle n'en tire aucun bénéfice, alors il est fort probable qu'elle ne s'investisse pas du tout. 

 Encore jeune, Yzhali ne sait pas dans ce vaste univers quelle direction elle doit prendre. 

C'est tout de même une zeltrone bienveillante, soucieuse de ses proches, qui est prête à lutter pour ses idées et opinions, ou simplement pour protéger son entourage. Son côté empathe l'amène parfois à ressentir le mal-être d'un ami, et elle n'hésitera pas à s'exposer, à monter au créneau, parfois de façon préjudiciable pour elle même pour défendre une injustice ou un point de vue qu'elle partage. Elle n'est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds. 

Sa jeunesse dans le faste et l'opulence de la famille royale, l'aura rendu un tantinet précieuse, et elle sera perturbée, déstabilisée voir désorientée si elle n'a pas un confort relatif. De même qu'elle abhorre le fait d'être mal habillée, mal présentée, mal apprêtée... ou même tout simplement sale. Sa vie luxueuse et aisée l'a installée dans une attitude quelques peu hautaine, supérieure qui l'amène parfois à se montrer méprisante avec la pauvreté ou la misère, mais plus par méconnaissance que par réelle méchanceté.