Raak-Vir Amina

Raak-Vir Amina
Padawan Gardien
Genre
Masculin
Race
Zabrak
Âge
25 ans
Lieu de naissance
Iridonia
  Raak-Vir est un ancien personnage et ne fait plus activement partie du jeu.

Dernières activités

Relations

Biographie

Date de naissance
71 ap. BY (25 ans)
Lieu de naissance
Iridonia
Affiliation

Prélude

Khel a vingt ans lorsqu’elle accouche de son fils Raak-Vir. Elle même née en +51 dans la colonie du clan Amina, elle y avait grandis jusqu’à ses 18 ans. Comme tous les zabraks de la colonie, dont les coutumes rejetaient ceux qui voyait des cheveux leur poussé pendant l’enfance, elle était née chauve et le resta toute sa vie. Plutôt pauvre et très attaché à la culture zabrak, la colonie ne lui avait appris à lire, écrire, compter et plus simplement parler que dans sa langue natale, montrant un enseignement plus poussé sur l’art du combat. Elle continua d’aller à l’école jusqu’à ses 13 ans, âge où ses parents estimèrent qu’elle était prête à passer son Res Selenoren. Chacune des épreuves -mentale, physique et sociale- furent comme l’exige la tradition soigneusement préparée par sa mère, qui l’avait aussi entraînée elle pour qu’elle réussisse -ce qu’elle fit sans accrocs, honorant du même coup sa famille. Deux mois après avoir passer sa troisième épreuve, Khel participa au Festival d’Élévation, où elle reçu les rites faisant d’elle une adulte et fut tatouée par son père ; s’ensuivirent les divertissements du festival, la nourriture, la chasse et les concours, notamment le tournoi de Zhaboka, le brochet pourvut de lame aux deux extrémités. Elle cessa alors l’étude de l’histoire de la colonie et de ses coutumes qui l’avait déjà beaucoup imprégnée et commença à travailler comme cuisinière dans la cantina de sa mère pour entamer sa vie d’adulte et réunir une somme d’argent assez conséquente pour pouvoir un jour acheter sa propre maison au sein de la colonie. Dans le même temps, elle continua d’apprendre le K'thri, l’art martial transmit dans la culture du clan. Et c’est lors de ces entraînements quotidiens qu’elle se rapprocha de celui qui devint très vite son amant, Meth. Âgé d’un an de plus qu’elle, ses yeux rouges et sa peau bleue claire contrastait avec la peau brune et les yeux verts de Khel. Il était plus grand qu’elle d’une petite dizaine de centimètres, touchant presque le mètre quatre-vingts cinq. Comme elle, il avait appris les bases de la langue zabrak et avait passé le Res Selenoren à l’âge de 13 ans, puis participé au Festival d’Élévation pour devenir adulte au sein de la colonie en recevant les tatouages du clan. Lui avait ensuite commencer comme serveur dans la cantina de la colonie pour commencer à gagner sa vie, profitant que son oncle soit barman pour décrocher facilement l’emploi -et ce lieu de travail commun les avait encore plus facilement rapprocher. C’est à peine deux ans plus tard, alors qu’ils avaient 15 et 16 ans, qu’ils se marièrent et achetèrent leur propre maison. Leur deux familles s’étaient très vite entendue et rapprocher jusqu’à devenir de vieux amis, et ainsi le mariage n’eut aucune difficulté à se faire, et la dotes fut réglée en une fois et sans désaccord, satisfaisant pleinement les deux familles. Suite au mariage les deux jeunes mariés achetèrent une maison de la colonie, Meth continua d’être serveur à la cantina et que Khel devint ouvrière à pleins temps dans la blanchisserie de sa mère. La vie continua son cours, tout partant bien jusqu’à une proposition de Meth, alors qu’ils avaient commencer à avoir une situation financière plutôt aisée : quitter la colonie pour Malidris, la capitale d’Iridonia. Là-bas, ils pourraient acheter un appartement en ville et travailler dans une cantina mieux payés ; les traditions zabraks profondément encrées en eux promettaient une intégration des plus simple et rapide. Et c’est donc un peu plus de trois ans après que le couple partis pour la capitale et où il y loua un appartement, bien plus petit que prévu, l’achat leur paraissant bien trop cher. Le déménagement s’opéra sans problème et le couple commença à chercher du travail, une période qui leur coûta beaucoup en seulement 4 mois, peut-être même trop. Mais au bout de 4 mois les deux avaient trouvé un travail, dans une même cantina, très extrémiste en ce qui concerne les coutumes Zabrak -c’était la première fois qu’elles leur étaient un avantage, en fait. Depuis qu’ils étaient arrivé en ville, ils avaient vite compris que la pauvreté de leur précédente colonie et leur manque d’éducation, notamment l’ignorance totale du Basic leur était un véritable malus dans tout types d’embauche, tout comme le fait qu’ils jetaient généralement un regard noir aux zabraks chevelus. Mais cette dernière cantina était exactement comme il leur fallait, et en plus manquait de personnel ; le genre d’endroit ou un non-zabrak n’entre pas sans se faire remarquer, où on ne parle que zabrak et où on ne sert que de la nourriture traditionnelle zabrak. Bien que le lieu et l’ambiance convenait parfaitement à Meth et Khel, ils attendaient un paye nettement plus importante, celle qu’ils recevaient étant à peine à la hauteur de celle qu’ils touchaient au sein de leur clans, et donc permettait à peine de compenser le loyer cher de l’appartement. Bien qu’un peu désarçonner après une entrée quelque peu tumultueuse dans la capitale, ils décidèrent de continuer dans la même voie -en pensant de toute façon qu’il n’y avait maintenant plus de retour en arrière possible. Leur vie se stabilisa et une année s’écoula, jusqu’à ce qu’on détecte chez Khel les premiers symptômes de la grossesse, qui furent rapidement confirmés. Ce n’était pas une grossesse volontaire, et les futurs parents songèrent immédiatement à l’avortement, sachant très bien que de toute façon ils n’arriveraient pas à nourrir le nouveau-né -ils abandonnèrent immédiatement cette possibilité, totalement hors de leurs moyens. N’ayant que très peu de connaissances dans la capitale, en fait personne à part leur patron et collègues, ils finirent par se résigner et commencèrent à essayer d’économiser le plus possible pour prévoir sa naissance, ou du moins économiser comme le leur permettait leur situation financière. Et c’est donc neufs moi plus tard que naquit leur fils Raak-Vir Amina, à qui on donna les noms de ses deux grands-pères -une association peu commune en ce qui concerne les noms zabraks.


Raak-Vir Amina

Le temps de bonheur qu’aurait du occasionner la naissance du zabrak nouveau-né n’eut pas lieu : il naquit chevelu ; des cheveux incroyablement claire, mais existant, et les zabrak du clan Amina rejettent les chevelus. Et c’est donc une semaine plus tard que le père emporta l’enfant en pleine nuit pour vagabonder dans les bas-fond et les endroits malfamés de la capitale pour l’y abandonner, dans un égout. Mais à peine avait-il fait dix pas pour quitter les lieux que le gamin se mit à pleurer, et même si Meth, comme Khel, fut un zabrak des plus attaché au coutumes de son clan, il ne pouvait se résoudre à abandonner un nouveau-né à la mort, et son propre fils encore moins. Alors il ramena l’enfant chez eux, et pleura son nullité qui faisait honte à ses ancêtres, à sa femme et à son clan ; Khel aussi pleura, car elle le comprenait, savait qu’elle n’en était pas plus capable que lui. Alors ils commencèrent son éducation, en lui apprenant leur langue les premières années, en lui rasant les cheveux à ras, en l’envoyant à l’école pour qu’il eut reçut une éducation propre dés ses 4 ans. Les parents mangeaient moins qu’avant la naissance du petit pour que chacun ait une part de nourriture suffisante à soi-même. Même si leur mission était de l’éduquer et de lui apprendre à vivre, ils essayaient tout deux de s’en attacher le moins possible, en se répétant chaque soir que dés son Res Selenoren passé, ils le jetteraient à la porte et le laisseraient se débrouiller. Alors qu’il eut atteint ses six ans, les parents de Raak-Vir cherchèrent une école de K'thri pour lui transmettre leur culture, mais abandonnèrent devant le prix de l’année d’entraînement, beaucoup trop élevé pour leur revenue. Qu’il n’apprenne pas le K'thri fut aussi pour eux une raison de ne pas s’attacher à leur fils, décidément beaucoup trop détaché de leurs traditions, même si c’était involontaire et partiellement de leur faute. Ils ne cherchèrent pas non plus à lui apprendre l’art martial malgré leur niveau dans cette discipline, se persuadant eux-même qu’ils revenaient le soir trop fatigué du travail pour se consacrer à un tel enseignement, et que de toute façon ils n’en étaient pas capable. De son côté, Raak-Vir découvrait le Zabrak en même temps que le Basic à l’école, apprenait à compter et toute ce qu’apprend un jeune zabrak dans une école publique. Bien sur il ne se rendait pas compte de la situation financière familiale, beaucoup trop jeune pour comprendre ces choses-là, ni de l’appréhension de ses parents envers lui, ne pouvant remarquer ce qui n’allait pas dans une chose qu’il découvrait pour la première fois -la relation entre plusieurs individus. La situation bascula réellement lors de sa neuvième année de vie, plus précisément lorsque l’un de ses parents, son père, fut renvoyé de la cantina où ils travaillaient : une fois de trop il avait bu un vers avant le service et renverser un plateau sur l’un des rares clients. Le patron, qui ne voulait pas perdre plus sa maigre clientèle, décida qu’il en fut assez et licencia le fautif. Très en colère, Meth quitta la cantina pour ne plus y revenir et s’ensuivirent plusieurs disputes sévères avec Khel, passant rapidement le cap de l’insulte pour atteindre petit à petit celui des coups ; bien sur il ne se séparèrent pas, car ils continuaient de s’aimer, mais la vie devenait de plus en plus difficile entre eux. Meth repartis chercher du travail tandis que Khel se tenait à carreau dans la cuisine de la cantina. Le zabrak revenait tard le soir, et après un mois revint ivrogne, ce qui provoqua de nouvelles disputes, jusque là aucun d’eux n’ayant abusé de l’alcool. Et pourtant l’état du mari empira, Khel céda en lui pardonnant et en travaillant deux fois plus pour que la famille subsiste, Meth n’ayant toujours pas trouvé de travail -s’il en cherchait encore tout du moins. C’est dans cette période que Raak-Vir commença à craindre ses parents pour la première fois, en prenant les coups de son père lorsqu’il revenait ivre et criait qu’il était sa plus grande honte et celle de tout le clan Amina, que des cheveux lui poussaient et qu’il ne connaissait pas le K'thri ni le reste de leur culture, sans que lui comprennent de quoi il parlait. D’autre fois le père sombrait en grande dépression, généralement le lendemain d’une mauvaise soirée, se mettant à genoux devant sa femme pour la prier de lui pardonner, lui promettant que jamais il ne recommencerai et qu’il arrêterait l’alcool pour retrouver un travail -ce qui bien sur n’arrivait jamais. Lorsqu’il fut frappé réellement pour la première fois, Khel défendit son fils, et alors elle fut frappée à son tour par Meth qui criait qu’elle les déshonorait en le défendant, qu’elle était une vraie zabrak et qu’elle n’avait pas à se rabaisser pour défendre la mauvaise graine qu’ils avaient planté. Meth fut touchée par la confusion, sans savoir si oui ou non elle avait été dans le juste lorsqu’elle avait voulu défendre sa progéniture, mais jamais elle ne le refit, par peur et par doute, malgré l’empathie qu’elle avait eu pour lui les premières fois. Lorsque Raak-Vir eut atteint ses douze ans, son père alors proche de l’état saoul décida qu’il lui fallait passer le Res Selenoren, en marmonnant qu’à son âge on devait être prêt et qu’au moins une fois dans sa vie il aurait respecté les coutumes du clan qui portait son nom. Khel n’eut pas le courage de s’y opposer bien qu’elle savait que son fils était encore loin d’être prêt pour passer de telles épreuves, qu’il n’était pas encore adulte et qu’il faudrait attendre encore au moins un an avant de pouvoir passer à la cérémonie. Math bâcla alors 3 épreuves, y comprit celle portant sur le plan social qui était la plus importante dans la culture zabrak, en calquant en grande partie sur ce qu’on lui avait demandé de faire alors qu’il était jeune et les fit passer à son fils. Il dut d’abord pour l’épreuve physique réussir une course d’à peine 2 kilomètres sur un stade d’athlétisme ; le père voulait à l’origine qu’il court 5 kilomètres mais avait mit fin à la course après en avoir eu marre de le regarder courir sur 4 tours de terrain, en lui affirmant qu’il avait réussit l’épreuve, sans plus de commentaires. Pour la seconde épreuve, mentale, Raak-Vir reçu un casse-tête par son père, qui lui même l’avait reçu lorsqu’il passa cette épreuve et qu’il avait pu garder par la suite après l’avoir terminer. Le casse-tête était une boîte de bois finement taillé et assez complexe dont certaines parties du couvercle pouvaient être légèrement bougé ou tourné jusqu’à réaliser une certaine combinaison pour que la boîte s’ouvre presque d’elle même. Le zabrak prit moins de 24 heures pour avoir la certitude que c’était une boîte, et chercha pendant de longues heures par jours et y comprit à l’école, absorbé par l’énigme et très curieux de connaître le contenu du petit coffret. Il réussit finalement à l’ouvrir au bout d’une semaine pour découvrir qu’il n’y était rien renfermer, son père n’ayant pas prit la peine de satisfaire sa curiosité ; Raak-Vir partit voir son père pour l’ouvrir sous ses yeux, et lui lui bougonna qu’il avait réussi la seconde épreuve, toujours sans félicitation, avant de lui prendre l’objet des mains et le ranger dans ses affaires. Meth lança donc la dernière épreuve en affirmant que c’était la plus importante et qu’il devait à tout prix la réussir. Pourtant, elle l’apparue au jeune zabrak comme pas plus dure que les deux première, pas que la mentale en tout cas, car l’épreuve sociale n’exigea de lui que de se procurer de l’argent par soi-même sans voler et de ramener du pain avant la tombée de la nuit, en partant au levé du jour. Raak-Vir avait une nuit pour réfléchir sur comment se procurer l’argent, et pensa d’abord qu’il devrait tenté de vendre quelque chose qui lui appartenait, mais il imagina rapidement la répression qui suivrait s’il vendait ce que ses parents lui achetait, c’est à dire seulement le stricte nécessaire pour ne pas avoir l’aire sans le sou. Les deux autres solutions qui lui vinrent en tête fut d’aider quelqu’un et être payer en compensation ou de mendier. Le lendemain et tôt le matin, il partir rendre visite au voisinage qu’il connaissait à peine, car ses parents lui interdisaient de sortir lorsqu’il n’était pas à l’école. Ainsi il fit du porte à porte en proposant d’aider à quoi que ce soit en échange de quelque sous pour pouvoir acheter du pain comme l’exigeait l’épreuve sociale de son Res Selenoren. À peine rencontra-t-il un zabrak que celui-ci comprit tout de suite et lui proposa de passer l’aspirateur et quelque point de ménage chez lui en échange de 80 centimes de Crédit, le prit d’une boule de pain. Le travail fut boucler en deux heures à peine, l’appartement n’étant pas des plus immenses et peu sale ; pendant l’épreuve, le zabrak lui demanda quel âge il avait, le trouvant plutôt jeune pour déjà commencer son Res Selenoren et être qualifié d’adulte, ainsi que s’il ne s’agissait que d’une partie de l’épreuve qu’il aurait qualifiée de trop simple, mais ne critiqua rien à haute voix pour respecter le choix des parents, censé savoir quand leur fils serait prêt et ce qu’il devait surmonté. Il paya ensuite le jeune zabrak et le regarda partir. Marcher jusqu’à une boulangerie n’avait rien de compliquer, et Raak-Vir ramena une boule de pain chez lui avant midi, où son père regarda ce qu’il avait exigé être rapporté avant le couché du soleil avant de grogner à nouveau que l’épreuve était terminer et qu’il avait réussi, puis ajouta qu’il serait tatoué au 3 mois plus tard lors du prochain Festival d’Élévation, où il n’auraient pas à payer. Et c’est donc un plus d’un mois avant ses 13 ans qu’il fut tatoué des marques de son clan, sous la surveillance mi-sévère mi-méprisante de son père lors du festival de fin d’année où on célèbre le passage à l’âge adulte. On lui avait mis un morceau de cuir entre les dents qu’il pourrait serrer comme il voulait pendant qu’on lui tatouerait le corps entier, où il laissa la marque de ses dents. Il put ensuite participer au tournois pendant que ses parents se goinfraient au buffet gratuit du festival, où il goûta à nombre de coups dans tout ceux qui impliquaient de se battre, n’ayant pas apprit le K'thri ou un autre art martial, contrairement à la grande majorité des autres participants. Il repartit ensuite chez lui avec ses parents, en ayant prit comme consolation une part de gâteau, car il ne garda pas un bon souvenir du tant attendu Festival d’Élévation, plus douloureux que jouissif ou plaisant.

Bien qu’ils avaient projeté de le virer de chez eux dés qu’il serait considéré comme un adulte, les parents de Raak-Vir le laissèrent continuer d’habiter avec eux, sans rien lui dire, pas même Khel. Le jeune zabrak eut atteint ses 13 ans mais continuait de loger chez eux, et encore pendant un mois après. Leur vie changea enfin le soir du 30 mars de l’année +84, alors que très tard dans la nuit Khel rentrait d’une cantina, après s’être saoulé jusqu’à ne plus avoir soif et qu’il rentrait en crachant et titubant dans les ruelles sombres de la capitale, en déblatérant ignominies sur ignominies à propos de son fils et même de sa femme. Il croisa sur son chemin un personnage encapuchonné qui l’interpella, sûrement l’ayant préalablement écouté dans son ivresse car il lui parla dans sa langue d’une proposition qui l’intéresserait forcément : son fils contre un petit millier de crédit. Le sens des affaires prit le dessus sur l’alcool lorsqu’un sombre sourire couvrit le visage de Khel, qui balança comme n’importe quel marchandeur digne de ce nom qu’il exigerait 5000 crédit au plus petit. L’offre descendit jusqu’à 1500 avant que l’affaire ne fut conclue, et le zabrak fut immédiatement payé alors qu’il donnait le chemin que son fils empruntait pour se rendre et revenir de l’école. Le personnage lui susurra que l’information lui fut amplement suffisante et repartit d’un pas tout aussi tranquille qu’il était venu alors que Khel resta sur place pour contempler son compte fraîchement augmenter des 1500 crédits qu’il avait marchandé. Le lendemain, Raak-Vir partit à l’école et Meth travaillé à la cantina tandis que le père de famille resta la journée dans le petit appartement, attendant en jubilant que les heures passent, jusqu’à ce que sa femme revienne la première et bien plus tard que la fermeture de l’école, et qu’il puisse enfin expliqué ce qu’il s’était passé la veille. Khel eut un coup de choque, à nouveau ne sachant pas quoi penser et confuse de l’agissement de son mari, mais à nouveau se laissa convaincre par celui-ci que c’était la bonne chose à faire, qu’ils l’avaient toujours voulu et que c’était la meilleure solution pour eux comme vis à vis de leurs traditions.

Raak-Vir se réveilla dans une soute, les fers au pieds, sans sacs ni manteaux ni ses autres affaires habituelles, alors qu’il était allez puis partis à l’école comme n’importe quel jour après les cours, sans jamais passer par les ruelles sombre ou devant des types louches avant d’arriver dans son quartier. Pourtant aucun souvenir ne lui restait depuis qu’il était entré dans le quartier, et la panique le gagna vite lorsqu’il réalisa sa situation, très probablement kidnappé, entouré de gens qui comme lui portait des chaînes autour des chevilles. Ceux-ci le forcèrent à se calmer et l’un d’eux lui expliqua sèchement qu’ils étaient partis pour être vendu comme esclave, probablement dans des usines, mines ou les plantations d’une autre planète, et qu’il devrait déjà perdre tout espoir de revoir un jour ses proches. Un garde approcha, visage masqué par un casque, accompagné d’un zygerrien habillé en marchand plutôt aisé, et aussitôt le jeune zabrak se jeta sur les barreaux en criant qu’il n’était pas esclave et qu’il n’avait rien à faire là, que c’était une erreur, et reçu en retour un coup de cravache de la part du garde masqué. Le zygerrien, venu pour observer de plus prêt sa marchandise, lâcha qu’il n’y avait jamais erreur, que s’il était dans cette soute c’est qu’il avait été tout simplement vendu par ses parents, et qu’on lui montrerait le contrat signé s’il le souhaiterait. Ce qui fut fut, sûrement par pure moquerie car on le frappa aussitôt qu’il est vu le dit contrat signé par la marque de son père, sous le regard et le sourire sadique du marchant d’esclave, avant de le remettre au fer avec les autres esclaves, qui ne cherchèrent ni à être compatissants ni réconfortants. Seulement trois jours plus tard il fut revendu pour travailler sur la planète Ansion à un autre zygerrien qui possédait dessus des plantations où une main-d’œuvre importante se faisait nécessaire. L’esclavagiste leur fit tatoué à tous un code sur l’avant-bras gauche permettant de connaître leur datte d’arrivée, leur dortoir assigné et enfin le nom par lequel on les appellerait dorénavant. On leur supprima leur vêtement et tout autre effet personnel qu’on remplaça par une paire de soulier, une chemise et un pantalon en jean, accompagné d’une gamelle à ne jamais perdre. Chaque matin à 7 heures, les esclaves doivent être tous réunit devant la grande maison, au milieu des plantations, et on leur distribue la ration du matin, une soupe de riz et un quignon de pain, sauf s’ils n’avaient pas leur gamelle de fer -à eux d’en trouver une autre. Le travail commence à 7h30 et marque une pause vers une demie heure après que midi est sonné, où les esclaves doivent retourner devant la grande maison pour recevoir leur deuxième portion de soupe et un nouveau morceau de pain. Le total de nourriture réserver à un esclave pour une journée est de deux livres ; on ne dîne pas. Le travail reprend à 14h jusqu’à 19h, l’heure du couchée sonne à 20h précise ; c’est pendant l’entre-deux que les esclaves doivent aller aux toilettes. La douche n’a lieu que deux fois par semaine, selon le bloc ou l’on dort, et dans le cas de Raak-Vir le mardi et le vendredi. Un samedi par mois est effectué une vérification totale du corps, pour éviter qu’une potentielle maladie se propage ; les malades sont soignés et ne travaillent pas durant le temps du soin. Tous les autres samedi du mois, les chemises et les blocs sont vérifiés, tous les lits doivent être faits et plats au possible tandis que les chemises doivent avoir leur 5 boutons accrochés, et pour tout ceux pour qui les deux exigences ne sont pas respectés reçoivent le fouet. Raak-Vir laissa un bouton s’arracher dés la première semaine et apprit juste après à raccommoder les boutons avec tout ce qui traîne. En 3 ans, il apprit rapidement les règles de leur esclavagiste et n’eut plus à goûter au fouet, et ne tomba jamais malade, et bien que la fin lui taillada le ventre plus d’une fois il devint physiquement beaucoup plus fort et musclé qu’il ne l’était. Il apprit à se taire lorsqu’il haïssait le zygerrien qui les faisait travailler, à se taire lorsqu’il pensait à son ancienne vie et à ses parents, à travailler quand on lui demandait de travailler et à savourer les moments où il ne recevait pas d’ordre ni travaille, à savoir après le couvre-feu, la nuit. Les relations entre esclave d’un même bloc étaient limitée, l’entraide dépendait totalement du personnage, qui pouvait très bien devenir un voleur s’il perdait un bouton ou si la ration du jour ne lui avait pas suffit. Pendant les trois ans Raak-Vir n’assista qu’à deux disputes, et la majorité de ceux qui avaient participé à la première n’avaient pas recommencer pour la seconde après avoir reçu leur punition.
Une révolte éclate la nuit du 25 avril de l’année +87, organisée par 3 autres blocs qui s’étaient discrètement fait passer le message entre esclave, grâce à la proximité de leur lieu de travail. Juste une heure après le couvre feu, les esclaves de chaque blocs se jettent sur les gardes de leurs blocs, ne tentant pas la discrétion à cause du trop grand nombre de garde par bloc, qui s’élève à une douzaine. Les 50 esclaves qui occupent les blocs préparés arrivent avec de nombreux morts à prendre les armes aux soldats en même temps que leur vie et commencent à marcher vers la grande maison après s’être rejoint entre bloc, tandis que le bruit provoque l’émeute dans les autres blocs, dont les gardes sont plus désarçonnés ou plus à leur poste, partis vérifier ce qu’il se passait. Raak-Vir marche avec les autres jusqu’à entendre les trop nombreux tirs de blaster à la grande maison, se doute que les rebellions sont conjecturer et que des systèmes sont mit en place en cas d’émeutes. Alors le jeune zabrak s’enfuit et cherche où et comment quitter les plantations, avant de songer au ravitaillement, et aux cargaisons qui emmènent les récoltes aux usines, puis des usines à la ville. Sûrement la Force l’aura t-elle bien aidée et guidée pour rejoindre la capitale de cette manière, sans jamais n’être repéré, toujours réussissant à chopper de quoi se nourrir ou se trouvant dans la bonne cale pour être à l’aise lors des voyages. Une fois arrivé à la ville Raak-Vir s’embarque à nouveau clandestinement dans une croisière en direction de Coruscant, et bien qu’il ne sait pas ce qu’il pourra y faire, sait qu’il s’agit d’une des planètes les plus importantes de la galaxie, et ne veut pas revoir ceux qui l’ont élever. Encore une fois, Raak-Vir se sera planqué dans les cales contenant les vivres et aura manger juste ce qu’il lui faut pour rester en bonne santé, en songeant aux passagers qui ont aussi le besoin de manger, en ne songeant pas qu’ils sont probablement fortunés et enrobés de manger des plats de grande qualité en passant leur vie en croisière dans l’espace.
Donc les voyages jusqu’à Coruscant découlent à merveilles pour le jeune Zabrak, jusqu’à son arrivée et après être sortit en toute discrétion de la soute et avoir rejoint les passagers pour sortir de la piste d’atterrissage, où il est tiré hors de la file, sûrement ses habits ayant fait tâche parmi les autres passagers. Et alors que son visage se décompose devant le garde qui l’interroge, et qu’il se voit être emprisonner ou renvoyer sur Iridonia, sent une main se posée sur son épaule et tourne machinalement la tête vers un humain mâle vêtu d’une bure brune, un léger sourire fatigué sur le visage. Une minute plus tard, Raak-Vir repart avec l’humain qui a affirmer qu’il était avec lui, et le zabrak le suit en le remerciant infiniment, reconnaissant et admiratif devant un comportement aussi bon, qu’il n’avait encore que très peu connu. L’autre lui répond qu’il est Jedi, que c’est de son devoir d’aider les plus faible, et que le zabrak devrait allez rencontrer le Temple, tandis que Raak-Vir réalise ce qu’est un Jedi, les « guerriers » dont il a tant entendu parler en bien à l’école, en mal chez lui auprès de ces parents qui ne toléraient pas les autres guerriers que ceux Zabraks. Il se fixe sa propre idée et rejoint au plus vite le Temple Jedi, et le 21 Mai devient Novice au sein de l’Ordre.

Jedi

Résumé et dates

28/01/+71 : Naissance de Raak-Vir sur Iridonia.
*Vit une enfance banale, reçoit une éducation simple, où il apprend à lire et à parler le Basic et le Zabrak, lire une carte, compter, ...
30/03/+84 : Est vendue par sa famille à un marchand, cause de difficultés financières importante et de l'alcoolisme du paternel.
03/04/+84 : Est revendu comme esclaves à un Zyggerien sur Ansion, dans une petite ville.
25/04/+87 : Une révolte d'esclaves éclate dans la-dites ville. Tous les révoltés sont massacrés. Seul Raak-Vir, s'étant enfuis pendant les combats, reste en vie.
*Suite au massacre d'esclaves et à sa fuite, Raak-Vir rejoint la capital de la planète, Cuipemam. Là-bas, il s'embarque clandestinement sur un vaisseau partant pour Coruscant, suivant tout le Corridor de Namadii. Peu de temps plus tard, le vaisseau appareillait sur Coruscant. En sortant du vaisseau, il est découvert. Mais un Jedi prend alors sa défense en affirmant qu'il est avec lui, puis laisse partir le Zabrak. Raak-Vir voue depuis lors une admiration pour les Jedi et décida qu'il se rendrait dans leur Temple aussitôt que possible pour rejoindre leur ordre.

21/05/+87 : Raak-Vir est admis comme Novice à l'Académie Jedi.
12/12/+87 : Raak-Vir devient Initié au sein de l'Ordre Jedi.
14/02/+88 : Raak-Vir devient Padawan et est placé sous la tutelle du Chevalier Alesio.

Description physique & morale

Genre
Masculin
Race
Zabrak
Taille
1m74
Sensible
Oui

Nom
Raak-Vir Amina, dit Raak, porte comme nom de famille le nom de son clan de naissance. Son nom composé est en fait une association des noms de ses grand-pères maternelle et paternelle, mais seul celui de de son grand-père maternelle est utilisé.

Physique
Peaux : Bleu clair
Tatouages : Brun sombre
Yeux : Vert sombre
Cheveux : Blanc
Cornes : 3 - frontales - 4 cm / 4 - crânienne - 4 cm
Taille : 1m74
Poids : 68 Kg
Particularités : quelques cicatrices dans le dos, un code gravé sur l'avant bras gauche 348477
-Droitier-

Tics/Habitude
- se craque les doigts
- porte son pouce gauche à ses lèvres lorsqu'il est assis et qu'il réfléchit.


Entraînement

Réveil : 7h30
Couché : MINUIT

Début de l'entraînement : 7h30
Pauses : 12h30 - 14h00 / 21h00 - 22h00
Fin de l'entraînement : 0h00

Entraînement de maîtrise de la Force :
- déplacement d'objets divers, taille et nombre variable (télékinésie)/ 2h par jour
- immobilisation des sphères d'entraînements en vol (télékinésie)/ 45min par jour
- Saut de Force /30min par jour
- combat à l'aveuglette contre une sphère d'entraînement /1h par jour
- combat à l'aveuglette contre un CYV /2h par jour
- Poussée de Force /1h par jour

Entraînement physique :
- escalade /1h30 par semaine (Jeudi)
- natation /1h30 par semaine (Vendredi)
- endurance /2h00 par semaine (Jeudi et Vendredi)
- course de vitesse /15min par jour
- course d'obstacle /15min par jour
- exercice d'équilibre divers /2h00 par semaine (Lundi et Mardi)
- 3 séries de 50 Pompes et de 100 abdos par jours
VMA : 15.5 km/h

Entraînement au maniement des armes :
- maniement du Sabre Laser : très régulier
- tir au Blaster 45min par jour (Lundi, Mardi, Mercredi, Samedi)

Sens de la Force
- méditation /2h00 par jour
- sens de la vie /1h00 par jour
- sens de l'environnement /à chaque déplacement dans le temple


Activités
Lire, jouer sur son datapad. Lit des bouquins sur le combat, stratégiques et physique. Dessiner ce qui lui passe par la tête, sur son datapad et sur papier.

Goûts gastronomique
Déteste toutes les boissons pétillantes, le navet, le panais, la quenelle, le réglisse, les carottes rappées, les betteraves et le céleri. N'aime pas la salade autrement qu'en sandwich ou en burger et n'aime pas les glaces. Préfère les repas salés et la viande. Aime bien les fruits, surtout la pêche. Mange beaucoup de fruits secs.

Langue
- Zabrak (parler/écrit)
- Basic (parler/écrit)
- Mando'a (parler/écrit) [Notion, en apprentissage]

Mission :
- Opération Rempart (Malastar)
- Percée éclair dans le système Enarc
- Le retour des Sith : Transfert inopiné
- Disparition
- L'Enfer Vert
- The Big Blue
- Red Steel
- Un goût d'inachevé [Part One]
- Il était une fois Tython: La Sphère de Darrow
- Le ciel de Farstine
- Procès sous haute tension
- Le spectre de la mort : le sauvetage de Zolan
- SOS perdu dans l'espace
- Une vieille histoire de plante

Attachement à sa famille et Haine des Zygerrien

En étant vendu comme esclave par ses parents, à compris qu'ils n'étaient pas des gens de confiance mais, au contraire, d'ignoble connards. Les a haït pendant une longue partie de sa vie et continue, souvent, à pensé du mal d'eux ; essaye néanmoins, depuis qu'il est Jedi, de leur pardonner et de les oublier pour leur être totalement indifférent. Depuis son premier coup de fouet en tant qu'esclave, a haït l'esclavagiste Zygerrien qui l'a acheté et est devenue très agressif envers la race. A de sérieux préjugé sur eux, sera surement d'humeur très froide voir méchante en présence de l'un d'eux.

Attachement au Temple


Depuis qu'il est arrivé au Temple, le considère comme sa maison ; c'est un lieu qu'il aime beaucoup et auquel il est très attaché. A aussi développé un très fort attachement pour ses amis les plus proches et son maitre, qu'il considère comme sa nouvelle famille.