Oreliana Irions

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  • Mémoires du Maître Jedi Oreliana Irions - Visions philosophiques d'un Jedi

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Mémoires du Maître Jedi Oreliana Irions - Visions philosophiques d'un Jedi
Mémoires du Maître Jedi Oreliana Irions - Visions philosophiques d'un Jedi

Mémoires de Maître Oreliana Irions

Nouvel Ordre Jedi - An +92





Note d’intention


Les objets de ce document vise à mettre en mémoire les philosophies d’ordre personnelle et originelle du Maître Jedi Oreliana Irions. A destination des Archives du Nouvel Ordre Jedi, il a pour principes de laisser une trace écrite d’un énième visuel des philosophies de la définition d’un Jedi et de ce qui le définit sur la base du vécu personnel du Maître et de son évolution propre au fil des années.


Index


1.0 : Fondamentaux

  • 1.1 : Le Code Jedi

  • 1.2 : Les quatres piliers intérieurs

  • 1.3 : L’équilibre de toutes choses

  • 1.4 : Les phases évolutives d’un Jedi

  • 1.5 : Faire face à soi


2.0 : Méditatif

  • 2.1 : Réflexions philosophiques

  • 2.2 : Entre professionnel et personnel

  • 2.3 : Léguer son héritage

  • 2.4 : Les castes Jedi


3.0 : Avancé

  • 3.1 : Expérimenter l’opposé

  • 3.2 : Prédispositions


3.1 : Musiques Biographiques d’Oreliana Irions





1.0 : Fondamentaux

  • 1.1 : Le Code Jedi


Le Code des Jedi est la base de tout membre de cet ordre. Connu aussi sur la formulation définie par le Maître Jedi Odan Urr, il a été simplifié mais ne fût pas créer par le maître cité. Pour autant, le code a toujours eu bien des buts dont un objectif majeur : Celui d’établir une ligne de conduite morale que le Jedi se doit d’apprendre, suivre et respecter dans l’exercice de ses fonctions et attributions.


Mais quel que soit l’âge, la pratique ou le rang du Jedi, tout Jedi au fil de sa vie le remet en question, cherchant à acquérir une vision personnelle à ce sujet, à se définir par le biais de ce dernier. Au final, chaque avis mûrement réfléchis se rapprochait sensiblement les uns des autres, mais il n’était pas possible d’affirmer de manière unique une perception reconnue dont tous s’accorderaient. Avant tout, il restait une question psychologique dont la réflexion était probablement perpétuelle.


Au-delà de ces aspects, en pratique, le Code Jedi était défini comme la référence – voir un moyen d’apaiser ses sens et émotions – du Jedi dans son rôle. Un membre de l’Ordre se doit d’avoir foi en ce dernier et de respecter ses préceptes, ainsi que s’y fier afin d’avoir un jugement impartial en toutes circonstances. Incluant quand il pouvait être potentiellement troublé. De ce fait, il n’est pas rare que bien des Jedi sous l’emprise d’émotions fortes inhabituelles se prenait à réciter mentalement ou à voix basse le Code afin de retrouver sa sérénité. La citation d’une seule maxime adaptée à son trouble pouvait généralement permettre à le remettre dans le bon sens pour la suite de ses affaires. A ce jour, tout ceci reste parfaitement adapté – depuis son origine – jusqu’au moment présent.


- Il n'y a pas d'émotions, il y a la paix : Le Jedi doit être impartial et juste. Il se doit donc de ne pas se laisser guider par ses émotions qui entravent son jugement. Les émotions brutes ou trop négatives accumulées peuvent également entraîner le Jedi sur les voies du Côté Obscur. Cette maxime représente l’idéal du Jedi.


- Il n'y a pas d'ignorance, il y a la connaissance : Le premier devoir d’un Jedi est d’acquérir la connaissance et de la transmettre. Avant d’être des combattants ou des défenseurs des justes, ils se doivent de comprendre pourquoi ils agissent comme tel et gagner en sagesse ainsi que en compréhension. Ne pas chercher la lumière de la connaissance conduit à la peur, au Côté obscur… Au néant.


- Il n'y a pas de passion, il y a la sérénité : Cette maxime se rapporte à la première. Nous rappelant avant tout de ne jamais agir dans des intérêts personnels ou égoïstes. Les Jedi sont les serviteurs de la Galaxie avant tout.


- Il n'y a pas de chaos, il y a l'harmonie : Toute vie est la Force. La Force est la vie. Le Jedi se refusant à cette conviction ne peut marcher sur les voies de la Force de la manière la plus naturelle qu’il soit, Pire, il la craindrait. En tant que sensible, le Jedi peut ressentir cette vie, ou qu’elle soit. Des êtres vivants aux simples végétaux.


- Il n'y a pas de mort, il y a la Force : La mort est une étape naturelle de la vie. Le Jedi ne doit pas la craindre, mais l’accepter en tant que tel dans le processus naturel. Car au-delà du voile de la « mort », il n’y a que la Force. Elle est la vie, même dans la « mort ».


  • 1.2 : Les quatres piliers intérieurs


A l’origine de l’Ordre Jedi et de ses fonctionnements, il existe trois piliers majeurs. Au travers de l’observation, du temps et de la réflexion, il m’est arrivée à penser qu'il était nécessaire de diviser les aspects majeurs d’un Chevalier Jedi en quatres piliers précis et particulièrement bien distinct les uns des autres, Mais chacun restant intimement liés dans toute la complexité finale d’un vaste tout. En voici les noms et la visualisation globale que j’en traduis au travers de ma réflexion.


Arts Martiaux : Au travers de ses rôles - et selon les périodes, de ses mandats - de Gardien de la Paix, le développement martial intérieur comme extérieur revêt d’une importance non négligeable pour tout Jedi. Malgré tout, ce pilier relève d’un contraste très nuancé avec les autres rôle du Jedi plus axé sur ses aspects de diplomatie et de garant de la justice. Il est de commune reconnaissance que tout Jedi qui décide à employer une méthode plus musclée, notamment par l’exemple frappant de dégainer son Sabre-laser, doit avoir conscience et acceptation qu’il est prêt à ôter une vie, il est malheureusement, au-delà du principe moral, bien plus complexe d’entrevoir la réalité et les limites à appliquer lors de ce genre d’expérience récurrente.


Tout Chevalier Jedi - Du plus pacifique au plus combatif - se doit de développer ses capacités martiale ne serait-ce qu’au minimum du principe de l’autodéfense personnel ou pour protéger autrui. La promulgation de la paix et la prédilection à la diplomatie ne doit pas interdire - ni réfuter - la nécessité à se prémunir des agressions extérieures sans pour autant chercher soi-même à frapper fort physiquement un opposant, quel que soit son schéma d’agression ou la portée qu’il prépare à votre encontre. C’est en ce sens que plusieurs formes du Sabre-laser et arts martiaux de contacts, sont nés. 


En dehors de cas de radicalité tel que l’opposition à un utilisateur du Côté Obscur - réputé inflexibles sauf rares cas -, l’usage de la force ne doit être considérée que comme l’ultime recours au même titre que la menace, qu’elle soit visuelle, physique ou morale. Un véritable guerrier sait se tempérer et analyser la situation dans sa plus grande globalité en fonction de ses observations concrètes ainsi que de ses déductions personnelles, notamment par son expérience acquise au fil du temps.

L’art du combat ne repose pas uniquement sur la victoire seule, même si elle est le fondamental premier du pourquoi l’on engage un affrontement afin de prendre l'ascendant globale d’une situation qui ne trouve aucune autre solution viable. bien que la force brute est déployée par de nombreux Jedi en temps de crises, elle n’est pas la seule solution employable et encore moins celle qui a fait ses preuves le plus régulièrement, cette agressivité se retournent souvent contre soi, nous entraînant lentement mais sûrement vers l’obscurité d’une manière en apparence “bienveillante”...


Ce pilier convient de remémorer les 7 principales formes du Sabre-laser, et la philosophie propre que j’entrevois au travers de chacunes de manière brève. Les fondements de chacunes d’entre elles étant particulièrement claires et détaillés sur de nombreux ouvrages des Archives du Nouvel Ordre Jedi.


  • Shii-Cho : Au-delà de sa simplicité apparente et son principe de base originelle de la pratique du Sabre-laser et de son ancêtre qu’est le Katana, Le Shii-Cho revêt une philosophie particulière dans l’aspect de ne jamais ignorer les vertues des origines et de la simplicité de ce que l’on est et de la ou l’on vient. La complexité des choses dissimule parfois une réponse simple pour trouver une résolution à son problème. C’est pour cela que le Shii-Cho reste une forme basique, mais extrêmement utile face à de nombreux assaillants ou vis-à-vis de situations complexes.

  • Makashi : De ma conception symbolique, le Makashi relève d’une noblesse de principes ainsi que d’une force de self-contrôle tant de soi-même que de ce qui nous entoure. Devenue très peu utilisée par les temps qui courent, elle n’en reste pas moins formidable sur ses aspects stratégiques offrant des possibilités parmies les plus larges et insoupçonnables en la matière.

  • Soresu : La forme la plus représentative des valeurs d’un Jedi a mon point de vue, fait qui rend cette forme comme la principale que j’exploite concrètement le plus généralement. Sa valeur a se cantonner à l’épuisement des adversaires et à sa défense et attendant les quelques opportunité d’actions pour neutraliser les opposants la rend particulièrement viable en de nombreuses situations sans rechercher la violence mais à l’encaisser pour la dévier le temps de trouver ou créer une résolution au conflit physique engagé. Elle est synonyme de forme de conviction en les valeurs prônés d’un Jedi et de ses mantras.

  • Ataru : Ma seconde forme majeure de prédilection. Ses exigences en énergie physique contrastes radicalement avec le Soresu, l'intérêt à utiliser deux variantes très différentes d’aspects consiste à forger un style particulièrement surprenant et retors au travers de toutes les réactions tant agressives que défensives au travers d’un duel. De part ma mentalité calculatrice, tactique et vive, Ma manière de fonctionner au travers de la pratique martiale repose sur une imprévisibilité et une versatilité extrême. Rendant le moindre de mes actes, et combinés à mes pouvoirs, d’une dangerosité avancée et d’un contrôle de soi proche de la perfection. le choix de ne pas combiner d’avances de formes autre que trois styles repose également sur une volonté de maximiser la pleine maîtrise des formes déjà déployées.

  • Djem So : la forme que j’apprécie le moins parmies toutes. Sans dénigrer ses nombreuses utilités et capacités offertes par celle-ci, son agressivité la plus extrême en dehors de la septième forme qui ne répond pas, à contraste de cette dernière, a une nécessité de contrôle plus nébuleuse de sa personne, dénote d’une agressivité totale qui ne se conforme plus vraiment aux visions du Jedi. Sa précision et sa férocité ne sont pas des défauts mais se veulent valeur à maîtriser son opposant ans retenue réelle ni cas de conscience trop en profondeur lors de son usage. Les maîtres du Djem So savent parfaitement que le contrôle de soi est un élément très dur à maîtriser dans cet art du sabre dont beaucoup de Jedi peuvent se laisser berner et mener dans un aspect déviant et troublée de ce que ce veux être véritablement en profondeur, le Djem So.

  • Niman : L’une des deux formes du sabre qui se conforme le plus aux idéaux d’un Jedi de mon observation. Sa valeur à trouver l’équilibre absolu tant des différentes formes existantes pour en tirer les bénéfices tout en supprimant la majorité des malus de chacunes, est un travail de soi autant physique que mental qui mène le Jedi a vouloir se découvrir et se comprendre au plus profond de lui-même. C’est l’une des méthodes - Notamment pour les maîtres d’Armes - parmi lesquelles l'on peut trouver une vaste forme de savoir, de connaissance et de compréhension avec le temps et l’expérience.

  • Vaapad : Il n’est guère utile d’évoquer une énième fois cette forme aux secrets obscurs. J’utilise cette forme dans le but de mieux renforcer la mainmise de mon obscurité intérieure en renforcement de mes travaux en tant que Jedi. Il y a toujours des moments de son évolution ou l’on se confronte à sa mentalité, sa moralité et ses bouleversement au travers de son oeuvre et de ses devoirs… Renier sa part profonde de soi, que cela soit ses aspects lumineux comme obscurs, n’est pas réalisable en prétendant évoluer au sein de l’immensité de la Force sans avoir une profonde connaissance et conscience de l’être que nous sommes. L’expression du combat et des arts martiaux correspondent à une explosion de ses sens et capacités dans une forme brute et radicale. Dans un tel état, tout individu peut basculer en perdant tous ses moyens et capacités de contrôle, Pour certains type de Jedi dont l’équilibre intérieur est très contrebalancé, cette forme peut-être un sérieux atout mais aussi un sérieux danger. Comprendre et appliquer cette philosophie demande un esprit fort et une volonté sans failles.


Force : la Force représente la source de la vie comme de la mort. Au même titre que tout individu qui peuple notre galaxie, la Force détient deux aspects que sont le Côté Lumineux et le Côté Obscur de la Force. Pour autant, elle s’avère être neutre par le principe même de l’équilibre perpétuel. La vie comme la mort - part indispensable et indéniable du cycle de la vie elle-même - sont la représentation commune de ce principe-clé de l’existence qu’elle soit animale,végétale ou humaine. Il convient de remettre en question le fondement-mère de la définition d’un Chevalier Jedi au travers de la considération qu’il porte de fait que ce qui compose sa nature n’est pas le reflet d’une pensée unique quel que soit le bord. Au même titre qu’un Jedi ne peut être différencier véritablement par une voie, la Force ne peut être divisée en plusieurs aspects, elle forme un tout. Tout être - qu’il soit sensible à la Force ou non - est connecté et chacun dispose en lui autant d’une part lumineuse qu’une part nébuleuse. L’on ne peut réellement percevoir la différence au travers de la majorité des êtres vivants du fait que ils n’ont pas véritablement conscience de ces états de faits, si ce n’est leurs actes au quotidien et leur activités.


Pour autant cette différence s’applique aux utilisateurs de la Force qui développent au paroxysme leur affinité avec leurs dons. L’origine de ce vaste et éternel cycle de violence émane des extrêmes auquel une majorité se réfère de part leurs enseignements reçus. Bien des individus ont exploré la nuance d’une forme d’équilibre propre à chaque interprétations avec plus ou moins de succès selon les points de vues. Toujours est-il que la plupart sont ressortis grandis - en puissance brute ou en sagesse personnelle - de ce type de pensées, mais aussi clairement en défaut de leurs pairs, étant mis quelque peu à part ou perçus comme dangereux selon certaines manières.


Au fond, il convient de ne retenir qu’un aspect véridique quel que soit l’expérience que l’on exerce sur la Force ou l’avancée propre que l’on en a en son sein : La profondeur de ses mystères est d’une portée hors de notre atteinte et le restera probablement à tout jamais. Il apparaît qu’une réussite sur sa voie philosophique soit un meilleur objectif que la volonté à tout prix, de percer des mystères probablement - et majoritairement - trop grands pour notre capacité de compréhension ou de maîtrise.


Connaissance : A divers degres de notre évolution, nous sommes amené à cultiver notre esprit sur de nombreux sujets. Si la base commune lors de l’enfance consiste à découvrir la vie et soi, nous en venons à élargir rapidement ce qui nous entoure et notre curiosité sur de nombreux sujets plus ou moins passionnant.


C’est au travers de la connaissance que le Jedi fait l’expérience de ce qu’il peut à terme différencier comme les bons et les mauvais choix, actes et autres faits de même natures. Tout en gardant conscience que la somme de cela est issue de sa propre philosophie en se basant par celle de ses aînés l’ayant précédé, tirant le fruit de leurs succès et de leurs erreurs pour mieux en comprendre l’essence et ainsi prévenir une répétition ou le retour d’élément affectant sa personne - ou les autres - en bien ou mal.


Il est particulièrement difficile de définir ce que représentent les piliers de la connaissance comme du savoir qui suivra ci-dessous ces écrits. Leur présence en un mot est a chacune très clairement définie mais leur complexité est telle qu'aucune vision ne peut en poser la totalité des bases avec la véracité absolue. La connaissance est quelque chose de merveilleux qui nous permet de mûrir et d’affronter des situations par le savoir que nous avons sur l’instant, mais il représente aussi une source de danger car tous les savoirs ne sont pas forcément bienveillants.


A mauvais escient, utiliser le savoir a l’encontre d’autre personnalités peut engendrer beaucoup de douleur et de profondes souffrances. Voir à soi-même. De nombreux textes issue des alchimies et savoir des Sith et autres entités lié à l’obscurité recèlent de nombreux secrets dont il faut avoir la capacité et la sagesse à limiter leur intérêt, et même leur exploration. Il ne peut être blâmé à quiconque de vouloir acquérir d’avantage de savoir sur des textes, des personnes, des événements et bien d’autres. Mais la nuance pour chacune d’entre elle est parfois si ténue que l’on ne peut entrevoir à quel point le danger qui peut en découler ne tient parfois qu'à une ligne...


Sagesse :


Il existe de très nombreuses versions et schémas qui visent à définir ce qu’est la sagesse. mais il existe cependant un point inaltérable sur le sujet qui vient couper court à tout le reste : la sagesse correspond au seul fait de la définition que chacun décide de lui donner dans son esprit. Il n’existe pas de forme de sagesse qui puisse se définir du fait qu’elle contient bien des facettes, formes et nuances qui se relient au travers des façons de faire des choix de petites ou grandes importance et dont l'impact ne se mesure que rarement avant d’avoir eu la “sagesse” qui guidera notre choix. C’est pourquoi, vous, lecteur averti, devrait garder ce fait-ci en premier point avant que je n’aborde ma propre vision sur le sujet.


Je considère ce que l’on indique comme la sagesse, la capacité à mûrir et à prendre des choix et des décisions en accord avec notre vécu passé ou présent dans l’idée de guider, soi-même ou autrui, dans l'intérêt d’étendre la profondeur de nos connaissances et de notre spiritualité. J’en arrive à estimer, de facto, que il est nécessaire de savoir faire appels à tous les dons physiques, spirituels, moraux et idéologiques afin d’acquérir des connaissances au travers de ma vie propre et de les transmettre au travers de ma personnalité tout en essayant de protéger le collectif des dangers que mon savoir me permet de prévenir plutôt que de guérir la ou d’autres pourront agir de concert sur mes propres faiblesses. J’ai beaucoup appris de nombreuses personnes au fil de mon évolution et j’ai fait mien leurs concepts avant de les façonner de manière à forger ma propre perspective et opinion des choses de toutes natures. Il n’appartient qu'à moi de transmettre, à mon tour, cette vision “unique” comme à chacun, afin que a la suite, les générations futures forgent leur propres visions de la galaxie et d’eux-même avec les meilleures bases qui soient.


  • 1.3 : L’équilibre de toutes choses


L’ordre et le chaos, le jour et la nuit, Jedi et Sith. L’équilibre de toutes chose est un fait constant qui s’est observé depuis les origines même de la galaxie et du temps. En tout age et événements.


De nombreux ordres ou sectes de diverses philosophies ont toujours prôné la facette qu’ils représentent au plus fort de leur période tel l’Ordre Jedi. Cependant, quand l’une de ces facettes prenaient une ascendance quasi-totale sur son opposé, la contrebalance revenait après une période dissimulée à la vue de chacun. Il s’agit la d’un cycle naturel et très rodé dont aucun individu doté de conscience ne peut en altérer le cour.


L’histoire nous permet d’observer très aisément cette observation au travers des guerres et extinctions millénaires survenus entre l’Ordre Jedi et les Seigneurs Sith. A de nombreuses périodes, chacun de ces deux ordres se sont confrontés et voués à un affrontement menant plusieurs fois à la quasi-extermination avant de revenir lentement, parfois au travers d’un seul ou d’un groupe d’individu(s) jusqu'à remonter pleinement la pente et a un nouvel âge d’or.


Constatant cela, doit-on se poser deux question auxquels beaucoup l’ont pensé mais jamais refléter : 

  • Doit-on accepter cette vérité et laisser la Force pleinement libre de son cour naturel ou continuer à influer au travers des affrontements passé et futurs pour ceux qui s’opposent à nos doctrines ?

  • Le groupe auquel nous nous attachons est-il capable de trouver une vrai finalité à cet éternel dilemme  et considérant que l’on pourrait, quel serait la conséquence réelle ?


Un tel sujet nous ramène aussi à la Prophétie de l’Elu et ces nombreuses dérives et visions. De mon point de vue, le Chevalier Jedi Anakin Skywalker, tristement Seigneur noir Darth Vader, a bel et bien rétabli l’équilibre dans la Force au travers du fait que plus de 10.000 Jedi coexistent à une période où l’obscurité se trouvait écrasée face a la lumière, elle a renouée lentement mais surement jusqu'à atteindre l’apogée des Sith et le massacre causée par l’Empire. néanmoins, cette considération de l’élu s’applique également à Maître Luke Skywalker, notre fondateur. Car il est celui qui a remis à zéro l’ensemble de toutes les bases du renouveau des Jedi comme des Sith en sauvant son père et éliminant l’Empereur. Ma réflexion à ces événements me fait alors simplement songer que la Force avait un sorte de cumul massif intemporel qu’elle se devait de purger d’une manière ou d’une autre pour ramener la complexité a des origines basiques, mais saines.


  • 1.4 : Les phases évolutives d’un Jedi


De la découverte de leur capacité de l’usage des pouvoirs de la Force au sommet de ses arts, un Chevalier Jedi traverse de nombreuses phases évolutives que je vais tacher de schématiser selon ma conception que j’en attribue.


  1. Initiation : Cette phase correspond à la base même de tout ce qui correspond au jeune Novice. Il s’agit des fondamentaux les plus cruciaux en matière de découverte et de compréhension de tous les éléments qui a trait à la compréhension de la Force, de ce qu’elle représente et de tout ce à quoi un Jedi se voue et représente au travers de ses codes et devoirs, formels comme moraux.

  2. Expérimentation : Le jeune Jedi commence à percevoir l’étendue de tout un univers qui s’ouvre à lui. Il s’agit alors d’expérimenter l’étendu de ses capacités et de son potentiel en progressant de sa formation tout en cherchant des réponses à de très nombreuses questions qui vont-et-viennent de manière constante. Il s’agit de la phase la plus importance pour un tuteur afin de pouvoir fournir à l’élève, tout le nécessaire afin de progresser en sécurité sur son chemin.

  3. Affirmation : D’un niveau avancé pour son statut, l’Apprenti Jedi, fort de plusieurs années de pratique, commence à entamer une phase durant laquelle il a acquis de la force, de la sagesse, des connaissances et un esprit étendu à tout ce qu’il a appris depuis le temps. Il entre dans la phase où il s’affirme naturellement au travers de ses devoirs et de ses diverses compétences comme étant apte à entamer ses premiers pas seul avec l’observation naturelle de son mentor en arrière-plan jusqu’au moment où cette phase atteindra le moment venu ou il devient alors un Chevalier Jedi.

  4. Compréhension : Désormais Chevalier, le Jedi entre dans une phase ou il va poursuivre son chemin seul durant un laps de temps. Entre la forge de son Sabre-laser, l’obtention de son cristal et de ses nouvelles libertés, il va continuer son ascension dans la Force jusqu'à obtenir de nouvelles facettes et talents qui l’aideront à mûrir et progresser dans la compréhension globale qu’il aura sur la Force et les Jedi.

  5. Transmission : Après une période plus ou moins longue sur la phase précédente, l’évolution du Jedi le mène à prendre, comme lui autrefois, un apprenti sous son aile. Il s’agit désormais pour le Jedi de devenir la figure bienfaitrice comme l’a été son mentor avant lui, afin d’initier une nouvelle génération de Jedi à leur destinée. De ce lien fort, le Jedi en tirera de nouvelles forces et compréhensions grâce à son élève et sa propre évolution naturelle.

  6. Assagissement : Le Chevalier Jedi approche de la maturité de son art de la Force. Il se forge ou s’est forgé une vision globale et d’ensemble sur de nombreux sujets au travers de nombreuses théories et visions et les a englobés pour forger ses propres perceptions, qu’il met, ou a mis, en pratique au quotidien.

  7. Maîtrise : Le Maître Jedi a acquis l'expérience, la maturité, les connaissances et la sagesse suffisante pour être reconnu Maître. la formation réussite de son élève contribue à démontrer la véracité de l’ensemble de ces faits. Il a conscience qu'il lui restera cependant toujours bien des mystères à découvrir et des choses a apprendre. Tout Maître Jedi reste, au plus profond envers la Force, un éternel élève.


  • 1.5 : Faire face à soi

[ A suivre.]

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